Empreinte.com, éditeur de solutions vidéo, WebTV, Webcast, Webinar, Mooc, Affichage dynamique, Conférence, Intranet vidéo

Souveraineté numérique et vidéo

La souveraineté numérique n’est plus une option

Empreinte.com est depuis 25 ans un éditeur indépendant de plateforme vidéo pour les entreprise et institutions.

Notre focus est de réunir tous les usages vidéos en une seule plateforme, ce que nous appelons « universal vidéo platform »

Les usages : Meeting, Live, Richmedia, VoD, Ai… sont nombreux. Notre plateforme réunit ces usages en un outil standard.

Interview Scaleway au salon AI Pulse

Une plateforme vidéo unique pour des usages multiples

Notre plateforme vidéo est unique car elle permet de simplifier et sécuriser les usages.

Notre plateforme est dynamique car elle permet une évolution constante face aux nouveaux usages et aux nouvelles technologies.

Notre plateforme est agile car c’est une des rares offres du marché à permettre une évolution et des travaux spécifiques à la demande.

Pionnier de la Souveraineté Numérique

Empreinte est un éditeur indépendant depuis 30 ans et nous avons choisi Scaleway il y a plus de 10 ans.

Notre objectif est simple : En premier nous avons besoin de relations proches avec nos partenaires techniques, pour assurer des solutions performantes et sécurisées.

En second, nous considérons que les solutions performantes sont développées en interne, sans ajout de composants externes ou de services sous-traités ou mal maitrisés.

En troisième, l’innovation est au cœur de notre démarche avec un R&D constant pour la formulation de nouvelles solutions et l’amélioration continue.

Ces objectifs sont également partagés par Scaleway avec lequel nous entretenons des échanges de bonne pratique et d’amélioration pour la sécurité et l’architecture, qui nous permettent d’évoluer ensemble.

Réduire l’impact environnemntal

Les coûts et résultats énergétiques, PWU, PUA de nos partenaires, sont un critère sensible très et stratégique : Scaleway est parmi les meilleurs acteurs européens dans ce domaine.

Nous sélectionnons nos fournisseurs, en premier, sur ces critères car la vidéo et le Big data sont de gros consommateurs et dans 5 ou 10 ans les acteurs vidéo et AI seront regardés à la loupe pour leur consommation.

Nous devons promouvoir et montrer la direction pour réduire notre empreinte environnementale.

Les efforts que nous avons déjà faits en ce domaine sont exemplaires : nous avons réduit de 30% notre consommation serveur et de 40% notre consommation de diffusion vidéo.

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Cloud Vidéo : maîtriser l’infrastructure

Cloud vidéo : les choix d’architecture sont déterminants pour la maîtrise des coûts, la sécurité et les objectifs environnementaux.

Dans le cadre du Podcast sur le Cloud Vidéo animé par Scaleway, François Caron présente l’activité d’Empreinte.com pionnier de la vidéo en ligne depuis 30 ans.

Architecture Vidéo Cloud

Dans le cadre du Podcast Cloud Vidéo animé par Scaleway, François Caron présente l’activité d’Empreinte.com pionnier de la vidéo en ligne depuis 30 ans.

Empreinte.com s’appuie sur les moyens techniques de Scaleway avec Kapsule, Load Balancer, Object Storage, Container Registry et MySQL.

Cette stratégie permet à Empreinte de répondre à ces charges conséquentes, telles que 70 000 utilisateurs chez un client, ou 3 000 diffusions live multilingues par an pour un autre.

Cliquez ici pour voir l’intégralité du podcast

Solution vidéo souveraine

« La Souveraineté, est un enjeu déterminant » comme le précise François Caron, notamment lorsqu’on gère le contenu vidéo diffusé dans les intranets de ses clients.

“Dans beaucoup de cas, certains serveurs sont aux US, ce qui peut révéler des informations sensibles. Les DSI ne veulent pas regarder cela… sauf quand on leur parle de cybersécurité »

Et de conclure « Maîtriser le mieux possible les périmètres Cloud est déterminant pour la sécurité” en particulier pour les usages vidéo et visio.

Vidéo Responsable

“On doit faire mieux avec moins”, résume le PDG d’Empreinte.com qui a lancé son engagement Vidéo Responsable début 2024

Notre chiffre d’affaires progresse de 40 %, tandis que la facture cloud a baisse de 50 %, “simplement parce qu’on a mieux géré”, explique François Caron.

Explications : “l’optimisation de l’application, la gestion intelligente des répartitions, les opérations multi-opérateurs, la gestion de la montée en charge, le passage à l’activité objet… permettent d’économiser et d’avoir des applicatifs de plus en plus fiables.”

Au final, Le grand défi de la vidéo c’est d’être responsable au plan environnemental et c’est aussi très positif au plan économique !

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Innovation vidéo responsable

L’innovation vidéo responsable est notre priorité. Les flux vidéo représentent 80% du Web mondial : une immense consommation (bande passante, stockage, électricité). Cela doit changer.

ENGAGEMENT VIDEO RESPONSABLE – Janvier 2024

Empreinte annonce ses engagements pour la vidéo responsable. C’est une opportunité pour nos clients et nos partenaires : soutenir des solutions vidéo responsables et réduire les émissions carbone.

Voici un aperçu de nos innovations vidéo responsables :

Réunion vidéo responsable

Chacun utilise les outils visio pour échanger, travailler. Mais une réunion à 2 génère 4 fois plus d’échanges qu’une lecture vidéo (source ADEME).

Les logiciels Java propriétaires ou libres (comme Jitsi et Big Blue Button) échangent souvent trop de flux et gaspillent les ressources inutilement. C’est là que nous changeons les choses :

Flux vidéo : -30% (3 participants), -60% (10 participants)
Serveur : -30% processeur, -70% mémoire

Avantages : des réunions plus fluides avec moins de consommation (flux vidéo et centre serveur). Cette innovation vidéo responsable améliore les diffusions et réduit des émissions GES.

Intranet vidéo responsable

Dans les intranets, diffuser une vidéo en direct est souvent complexe pour assurer une parfaite gestion de la bande passante et de la sécurité. Notre innovation change la donne.

Réduction jusqu’à -90%
Ex: live 10.000 intranautes sur 10 zones
– Solution Empreinte : 10 flux
– Solution Standard : 10.000 flux

Avantages : un réseau plus fluide, une sécurité accrue. Cette innovation vidéo responsable emploie des stratégies intelligentes de diffusion locale et renforce le système d’information de l’entreprise.

Affichage dynamique responsable

Alors que la plupart des solutions diffusent des flux 24/24, Empreinte fonctionne en mode déconnecté économisant des milliers d’heures de flux sur le Web… Plus la gestion des arrêts programmés de boitiers et écrans.

Réduction jusqu’à -95%
– Solution Empreinte : 1h00 de flux vidéo
– Solution Standard : 24h00 flux vidéo

Avantage : réduction drastique des GES (flux vidéo). Cette innovation vidéo responsable permet en plus des vidéos en très haute qualité (4/8K) sans risque de bug d’affichage.

Vidéo multilingue responsable

La solution Empreinte diffuse des milliers de conférences vidéo en plusieurs langues. Notre innovation utilise un seul fichier vidéo (au lieu de plusieurs) c’est à la fois plus économique et respectueux pour la planète.

Réduction -75%
Ex : vidéo en 4 langues
– Solution Empreinte : 1 flux vidéo
– Solution Standard : 4 flux vidéo

Avantage : réduction de la consommation (flux vidéo, stockage). Cette innovation vidéo responsable est compatible avec les ordinateurs et smartphones. Elle s’adapte aux infrastructures audiovisuelles existantes.

Hébergement vidéo responsable

Stocker et diffuser la vidéo utilise des serveurs consommateurs d’énergie. Empreinte emploie des hébergements neutres, alimentés en énergies renouvelables à 100%, avec une faible consommation d’eau et d’énergie.

Pour la conception de ses boitiers vidéo (exemple : affichage dynamique) Empreinte exploite des solutions à basse consommation (environ 10 W) pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Notre engagement vidéo responsable repose sur l’écoconception et le choix d’hébergements neutres.

Nos engagements vidéo responsable

« Empreinte » est notre nom et notre devise ! Depuis 30 ans nous innovons pour créer des solutions vidéo respectueuses de l’empreinte environnementale, au service des organisations humaines.

Fin 2023 notre score environnemental est de 70% (données ECOVADIS)

Ecovadis Bronze

Avec l’accélération du numérique, notre motivation grandit comme notre attachement à la vidéo responsable : « joindre l’utile à l’agréable » est notre première énergie !

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Prix de la chaine vidéo 2024

Le prix de la chaine vidéo est remis à Parcours Métiers et Empreinte.com par Mme Sophie Jullien-Rapp, Responsable des partenariats vidéo et du développement de l’AFP

PRIX DE LA CHAINE VIDEO – #casdorvideo2024

1,2 millions de vues par mois : la chaîne vidéo parcoursmetiers.tv animée par Euro France Media sous le patronage du Gouvernement est un média exemplaire.

Une chaine vidéo pour les métiers du futur

Avec plus de 10.000 vidéos disponibles, parcoursmétiers.tv est une source d’inspiration pour les jeunes à la recherche de leur vocation.

Ce site est aussi un exemple d’interactivité avec plus de 4.500 vidéos créées par les internautes (stagiaires, formateurs, chefs d’entreprise) désireux de présenter leur activité, partager leur passion.

Consciente de l’enjeu de la transformation du monde professionnel, Empreinte.com accompagne parcoursmetiers.tv première chaine vidéo d’information sur les métiers de demain.

En croissance régulière, le site rencontre une large audience avec plus d’un million de visiteurs par mois.

Quand la vidéo est utile

Pionnier du digital, Empreinte.com travaille depuis plus de 25 ans à la maîtrise de la chaîne vidéo au service des entreprises, organisations et institutions.

Loin des corners publicitaires et tapages médiatiques, Empreinte.com supporte les projets permettant de développer et valoriser le collectif, avec des outils sécurisés et simples d’emploi.

La plateforme vidéo rassemble de nombreux outils de création (montage vidéo, Richmedia, sous-titrage, etc), de management (droits, profils, etc) et de suivi (sécurité, audience, etc).

Empreinte.com développe des solutions sur mesure, avec des procédés logiciels et des hébergements responsables, économes en énergie et en consommation d’eau, sur toute la chaine vidéo.

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Empreinte.com pionnier du Web Français

Le livre paru en 2023 chez Dunod cite EMPREINTE.COM pionnier du Web Français parmi les « 7 entreprises résilientes du Web Français ».

« Le Web Français » – Octobre 2023 – ISBN 9782100864508

Mention spéciale pour un pionnier qui doit sa longévité à la confiance de nombreux clients fidèles qui, eux aussi, témoignent d’une longue et belle histoire (Cea, Dassault Aviation, industriels, organisations internationales, institutions, etc).

L’Empreinte des pionniers

L’ouvrage publié en Octobre 2023 chez Dunod « Le Web Français » retrace « l’histoire d’une épopée et de ses pionniers ».

Au sommaire « EMPREINTE.COM » est citée parmi sept pionniers encore actifs, sous l’intitulé « 7 entreprises résilientes du Web Français »

Le livre se consacre spécifiquement à la présentation de notre entreprise (en page 77 et suivantes) qui a traversé de nombreuses périodes, sans une ride !

Empreinte une entreprise exemplaire

Depuis 35 ans, Empreinte.com pionnier du Web Français est une des premières sociétés spécialistes de la vidéo numérique.

Pionnier du digital média, Empreinte.com est le précurseur de plusieurs innovations : le Cd-Rom (1994), le multimédia (1995), la vidéo en ligne (1997), les webcasts (1997), la WebTV (2000), le Richmedia (2001), Etc.

Editeur en croissance, « ovni » parmi les startups (dont beaucoup se sont inspiré), Empreinte.com est un acteur exemplaire de la souveraineté numérique.

L’innovation est notre empreinte

Innover est indispensable pour durer. Sans cesse les technologies évoluent, ainsi que les exigences des utilisateurs et DSI.

« Innovative video system » est le leitmotiv d’Empreinte pionnier du Web qui inlassablement mène une R&D pluridisciplinaire (vidéo, big-data, réseaux, multi cloud, IA, etc) et s’inscrit dans la durée.

Déjà en 2003 paraissait chez Springer (ISBN – 2287214364) « Technologie de l’information et de la communication pour les pratiques médicales » citant la société Empreinte parmi les premières innovations de la vidéo pédagogique.

Le temps est un allié précieux pour formuler une technologie maîtrisée, assurer la sécurité, la souveraineté, l’écoresponsabilité des usages vidéo.

En 2024, EMPREINTE.COM annoncera plusieurs innovations clés dans le domaine de la vidéo numérique.

A suivre !

Lire l’article « la vidéo d’entreprise, pas si simple »

La fin des API vidéo ?

Plusieurs start-up ont parié sur les API vidéo. L’idée semblait belle, les analystes ont validé, les investisseurs suivi. Mais la plupart des projets ont échoué : le marché est ailleurs… Fin des API vidéo ?

Journal du Net – 07/09/2023

Fin de partie pour les API vidéo ?

C’est fou comme le temps passe vite. Alors que les analystes projetaient en 2016 que le marché des API devrait dépasser 200 milliards en 2022, dans un billet du 24 Août 2023, MUX met les pieds dans le plat.

Lien du billet (traduit en français) : « les API d’encodage Cloud sont mourantes ». Un billet qui titre très sévèrement : « Les API d’encodage dans le Cloud sont une race en voie de disparition ».

Les analystes se seraient donc trompés selon MUX, dont les fondateurs, ici oiseaux de mauvais augure, ne sont pourtant pas des perdreaux de l’année.

En 2012, les fondateurs de MUX ont vendu la solution Zencoder à Brightcove, leader du marché. Fondée en 2015, MUX basée à San Francisco a réalisé une très belle série D en 2021, elle connait son sujet.

MUX, comme Netflix, maîtrise aussi la technologie « d’encodage instantané par titre » un système basé sur l’IA qui peut réduire la taille des fichiers vidéo de 30% et améliorer la qualité vidéo de 15%.

Alors pourquoi MUX, expert reconnu, met-il le feu aux poudres ?

API vidéo : une API comme les autres ?

Toute solution SaaS se doit aujourd’hui de proposer une API, sinon sa solution ne peut répondre aux exigences des DSI et chargés de projets.

Les plateformes vidéo n’échappent pas à la règle : pour encoder les contenus, sécuriser les diffusions et bien d’autres usages, on pourrait résumer ainsi : « pas d’API vidéo, pas de plateforme vidéo ».

Depuis au moins 8 ans, toutes les plateformes vidéo – dignes de ce nom – disposent d’une API vidéo pour les besoins de sécurité, d’interopérabilité, de diffusion, etc…

Reste que l’exercice d’une plateforme vidéo n’est pas aussi simple qu’une plateforme de comptabilité, de mail ou un réseau social interne, digital workplace ou autre.

La vidéo est un média particulier qui peut causer des problématiques de diffusion dans les réseaux hétérogènes (intranet, web, mobile) et transporte des données volumineuses en continu lors de directs.

C’est pourquoi, au-delà de l’encodage vidéo, une API vidéo doit aussi prendre en compte de nombreux paramètres que MUX ne semble pas valider dans son billet, et nous les rejoignons dans leur analyse.

API vidéo : les leçons du marché

MUX cite plusieurs « leçons tirées de trois start-up de vidéo dans le cloud » qui ont toutes échoué. Nous tirons les mêmes conclusions : il n’y a pas de panacée pour un « service universel ».

En premier lieu, le billet observe qu’il n’existe pas deux clients semblables en fonctions des images (vidéo) qui devront être diffusées pour obtenir un résultat optimisé et de qualité.

Ajoutons à cela que c’est même un peu plus complexe : au-delà de diffusion sur des terminaux différents, les réseaux hétérogènes d’entreprises sont une contrainte non standard et versatile…

En second lieu, le billet cite les contraintes d’encodage « juste à temps » pour délivrer les contenus selon une logique optimale pour l’expérience utilisateur et pour les exploitants (créateurs, acheteurs et DSI).

Ajoutons aussi que bien d’autres contraintes existent : par exemple la gestion locale de contenus dans des points de réseau, et d’autres liées à la confidentialité, à la multi publication, etc.

D’ailleurs, logiquement une API vidéo doit faire plus qu’encoder : elle doit aussi diffuser, adapter, sécuriser, converser avec des systèmes tiers (hors vidéo souvent) et plus encore, pour répondre exhaustivement aux exigences des entreprises et organisations.

Et maintenant ?

En 10 ans le marché a changé singulièrement et il changera encore, de même que les technologies évoluent constamment, surtout dans le domaine vidéo.

Ce qui ne change pas : « un plan ne se réalise jamais tout à fait comme on l’avait prévu » … C’est ici que l’on reconnaît l’expertise des entreprises agiles !

En résumé une API vidéo ne fait pas tout : ce n’est qu’un partie d’une plateforme vidéo sur mesure.

découvrez notre plateforme vidéo

La vidéo : comment ça marche ?

Devenez un expert : bientôt vous saurez comment marche la vidéo ! Cet article vous permettra de comprendre en 10 mn. Pas de panique, si l’explication semble longue, il y a des schémas et des résumés…

Journal du Net – 20/06/2023

La route des données

Afin de transporter les données dans les réseaux, on utilise les protocoles TCP et UDP :

TCP (Transfert Control Protocol) créé en 1973, est le plus utilisé. Ce standard Web transfère les informations entre les postes clients et les serveurs. Universel, TCP s’accompagne de mécanismes de détection d’erreurs de transmission.

UDP (User Datagram Protocol) un peu plus récent (1980) transfère les données avec un petit plus… Dans chaque paquet de données est indiqué l’adresse des deux parties (poste client et serveur). Il est plus direct et rapide, mais moins tolérant aux erreurs réseau.

En bref, TCP est plus lent et plus fiable, UDP est plus rapide mais sans correction d’erreur.

TCP-UDP

Le transport vidéo

Il existe utilise plusieurs méthodes de transport vidéo qui tirent parti de TCP et UDP :

L’Unicast est utilisé sur internet. Il diffuse un jeu de données à chaque internaute (pour 1.000 internautes, la donnée est distribuée 1.000 fois.

Le Multicast est utilisé en réseau local pour les directs. Il envoie une seule donnée à tous les utilisateurs, via un système de routage intelligent.

Le Peer to Peer est souvent utilisé en visio. il utilise les postes des utilisateurs comme des serveurs vidéo (de préférence en UDP).

En bref, faisons une analogie avec l’automobile : Unicast est le véhicule individuel, Multicast le transport collectif (un bus de données pour tous), Peer to Peer la voiture partagée. C’est ainsi que la vidéo marche !

DISTRIBUTION USAGE COURANT TCP UDP
Unicast Internet OK (OK)
Multicast Réseau local no OK
Peer to Peer Visio (OK) OK

Les usages vidéo

Il existe plusieurs usages de la vidéo :

La vidéo professionnelle, qui transmet la source vidéo vers un service de diffusion. C’est le transport primaire (aussi utilisé pour visualiser une vidéo surveillance).

La vidéo grand public, qui diffuse la vidéo à travers un réseau de serveurs ou CDN (Content Delivery Network) adapté aux fortes audiences.

La visio, qui crée des échanges vidéo en temps réel pour un petit groupe d’usagers.

Chaque usage utilise des procédés techniques adaptés.

La vidéo professionnelle

L’objectif est de disposer d’un outil pour diffuser un flux vidéo en direct, généralement destiné à un serveur de diffusion. Plusieurs procédés sont utilisés, selon l’usage :

MPEG TS (MPEG Transport Stream) crée des vidéos peu compressées pour les DVD, Bue Ray et fichiers lus localement. C’est un standard du Web initié en 1995.

NDI (Network Device Interface) diffuse la vidéo peu compressée (100 Mb/s) en réseau local, comme une rallonge reliant les éléments (caméra, régie) d’une infrastructure vidéo.

SRT (Secure Reliable Transport) transmet la vidéo en mode compressé sur le Web avec un faible délai (120 millisecondes) et une correction d’erreur.

RTMP (Real Time Transfert Protocol) créé par Adobe transmet la vidéo en mode compressé sur le Web avec un faible délai, vers un serveur de diffusion.

RTSP (Real Time Streaming Protocol) basé sur RTP a été créé en 1996 par RealNetworks est souvent utilisé pour la vidéo surveillance.

Nous reportons ci-dessous les procédés professionnels avec leur usage courant, protocole, latence et compression (données moyennes).

DISTRIBUTION PROTOCOLE LATENCE COMPRESSION USAGE COURANT
MPEG TS TCP N/A 100 Mb/s Lecteur locale (fichier)
NDI UDP/TCP 0,160 sec 100 Mb/s Liaison locale
SRT UDP 0,160 sec 2-10 Mb/s Liaison encodeur/serveur
RTMP TCP +/-5 sec 2-10 Mb/s Liaison encodeur/serveur
RTSP TCP (UDP) +/-2 sec 2-10 Mb/s Vidéo surveillance

En général, les usages vidéo professionnels ciblent un usage restreint. Pour précision, MPEG TS est aussi utilisé pour la diffusion publique (voir partie suivante).

La vidéo grand public

Pour la diffusion grand public, on parle de la technologie STREAMING qui consiste à envoyer des paquets audio-vidéo en continu.

Ces paquets sont compressés par un procédé d’encodage ou CODEC dont le format le plus utilisé sur internet est le format vidéo MPEG 4

Mais comme la bande passante varie souvent selon plusieurs paramètres (qualité de connexion, nombre d’usagers, capacité serveur), il convient de disposer de solutions qui s’adaptent dynamiquement.

Ces solutions nommées ADAPTIVE BITRATE (ABR) diffusent plusieurs débits vidéo afin de délivrer, en temps réel, la meilleure qualité possible.

HLS (HTTP Live Stream) créé par Apple en 2009 diffuse les vidéos MP4. Il traverse les pares-feux (intranet) et s’adapte aux réseaux instables (internet, wifi, mobile).

DASH (Dynamic Stream Adaptative Http) initié par HP en 2006, diffuse les vidéo MP4, HEVC, VP8 et VP9. Mais ne supporte pas iOS (portables d’Apple) ni Apple TV.

CMAF (Commun Media Application Format) initié par Apple et Microsoft supporte tous les Codecs mais tarde à s’affirmer, d’autres sont délaissés (HDS Adobe, MSS Microsoft).

Comparons la compatibilité et l’utilisation de ces solutions :

DISTRIBUTION TOUS OS OS EXCLUS FORMATS VIDEO UTILISATION
HLS OK N/A MP4 Standard universel
DASH non iOS MP4, HEVC, VP8-9 Compatibilité partielle
CMAF non inf. iOS 10 MP4, HEVC, VP8-9 Encore peu déployé

CMAF reste encore souvent expérimental et n’est pas compatible avec les versions inférieures à iOS 10.0 selon Apple.

HLS est le protocole le plus diffusé. Il utilise le transport de MPEG TS pour des vidéos MP4 configurables à latence réduite (5-10 secondes).

Nous indiquons les modes de transport vidéo et leur latence :

La protection vidéo

Pour un usage professionnel, les entreprises sécurisent leurs contenus par un système d’accès qui permet de vérifier l’identité du visiteur et l’autoriser à accéder à des contenus spécifiques :

Authentification SSO (Adfs, Ldap, Saml, Shibboleth, Wsf)
Vérification d’identité (Azure AD, Oauth 2.0, Open ID, Saml 2.0)

En complément, la plateforme vidéo doit protéger les contenus avec plusieurs procédés :

Token : la vidéo est accessible via un lien crypté unique,
Referrer : la vidéo est accessible via une URL de lecture spécifique,
Encryption : la vidéo est cryptée, empêchant une copie locale valide,
Watermarking : la vidéo comprend un système d’identification invisible,
Geo-restriction : la vidéo n’est accessible que dans certains pays,
DRM : le fichier vidéo contient une condition de lecture.

A propos du DRM (Digital Right Protection), toutes les solutions ne sont pas universelles.

DRM TOUS OS OS EXCLUS STREAMING EDITEUR
FairPlay OK HLS Apple
Widevine OK HLS / DASH Google
Clear Key non inf. iOS 10 DASH W3C
Play Ready non inf. iOS 10 DASH EMicrosoft

DRM est utilisé pour le cinéma en ligne. Pour les usages professionnels, la protection repose sur les méthodes d’accès (SSO) et les mesures de protection de la plateforme vidéo. Vous trouverez plus d’infos ici.

Les meetings visio

Pour les réunions visio, la méthode est différente : le principe est de relier les postes entre eux. Chaque poste reçoit et envoie la vidéo grâce au standard WebRTC (Web RealTime Communication) initié par Google en 2010 (18) et utilisé mondialement, à travers trois méthodes d’échange :

SFU (Select Forwarding Unit) partage les flux entre participants sur le modèle de N² flux, ce qui pour 5 usagers utilise 25 flux. Ce procédé est adapté aux petites réunions (5 à 10 pers).

MCU (Multipoint Control Unit) partage les flux entre sur le modèle de N+N flux, ce qui pour 10 usagers utilise 20 flux. Ce procédé est adapté aux grandes réunions (1 à 200 pers).

Peer to Peer (P2P) partage les flux entre participants, sans exploiter un serveur central (contrairement à SFU et MCU).

SFU-MCU-P2P

La plupart des solutions de meeting visio utilisent SFU. Elle permettent aussi d’échanger des données (fichiers) et interagir (question, sondage). Quelques unes vont plus loin :

– Choix de la source vidéo (encodeur externe ou webcam)
– Diffusion en streaming (à des milliers de personnes)
– Archivage automatique sur un portail sécurisé (20)

Toutes ces solutions ne sont pas égales sur la sécurité des échanges et contenus. Cela est essentiel car les solutions visio utilisent en général un serveur externe, ce qui représente malgré tout un risque.

A retenir

En résumé, pour vos diners en ville, retenez l’essentiel :

Le streaming est souvent diffusé en HLS (débit adaptatif) en MP4
La visio est souvent au standard SFU (UDP par défaut) en MP4
Les vidéos peuvent être sécurisées (protection accès et contenus)
Un système visio / vidéo peut être intégré en interne (intranet)
On peut diffuser en visio et en streaming avec quelques offres

Vous savez le principal !

Générique de fin

Cet article résume les principaux ressorts de la vidéo. Pour rester digest, il ne comprend pas les formats vidéo que vous pourrez retrouver ici.

Nous croyons en l’usage intelligent de la vidéo et avons le sens du détail.
N’hésitez pas à nous contacter !

La CNAM reçoit le Prix du portail vidéo

La CNAM et Empreinte reçoivent le Prix du Service Public 2023 pour leur solution vidéo innovante.

CNAM.VIDEO est le portail vidéo sécurisé des directs, formations, vidéos et podcasts des collaborateurs de la Cnam.

Cas d’Or du Service Public – 08/06/2023

La transformation digitale s’accélère dans les administrations. Les usages digitaux et la sécurité sont au cœur du changement.

Spécialiste de la vidéo et des réseaux, Empreinte a contribué à l’accélération de l’usage vidéo au cœur de la CNAM.

La vidéo renforce et simplifie la diffusion des messages, c’est un allié précieux pour la diffusion d’information et la communication.

Portail video prix 2023
Julie Mokhbi, CNAM et François Caron, Empreinte – Cas d’Or du Service Public 2023

Quand simplifier permet d’accélérer

Pourquoi un portail ? Tout simplement parce qu’un point unique d’accès permet de rationaliser : gérer et distribuer les contenus et accès.

Dans le système d’information, l’intégration SSO garantit une méthode structurée pour produire et adresser des contenus ciblés aux utilisateurs, qu’ils soient de la CNAM, du réseau de l’Assurance Maladie ou ses partenaires qui accèdent à leurs ressources, selon leur profil.

Ainsi la logique de travail ne change pas. Le portail vidéo est une ressource de l’infrastructure. L’accès SSO est simple et transparent. Les contenus sont profilés et sécurisés.

Une solution « panoramique »

Lives, réunions, podcasts, formations, médiathèque : l’usage vidéo est désormais entièrement maîtrisé en interne, de la création à la diffusion en Live, VoD et Podcast.

– Création (capture audio-vidéo, montage, sous-titrage, Richmedia),
– Diffusion Live, VoD et Podcast (portail sécurisé intranet et Web),
– Gestion (droits, classement, analyse d’audience en temps réel).

Diffusion en direct, formation, communication : les contenus et utilisateurs grandissent chaque année (+75%), témoignant de la réussite du portail CNAM.VIDEO, belle récompense !

Voir notre article sur la vidéo d’entreprise

La vidéo en entreprise, pas si simple…

Pour un réseau d’entreprise, la vidéo nécessite plus qu’un assemblage d’outils… Seule une architecture vidéo adaptée vous aidera à réussir votre transformation numérique.

Journal du Net – 27/04/2023

Pour un réseau d’entreprise, la vidéo nécessite plus qu’un assemblage d’outils… Seule une architecture vidéo adaptée vous aidera à réussir votre transformation numérique.

La vidéo représente 90% des flux du Web et 30% et du temps des cadres pour la formation, les réunions de travail et la communication. La vidéo est incontournable.

Le marché propose de très nombreux logiciels de création et de diffusion vidéo, mais il manque des solutions adaptées aux réseaux des entreprises et organisations.

Pour un réseau d’entreprise, la vidéo nécessite plus qu’un assemblage d’outils… Seule une architecture vidéo adaptée vous aidera à réussir votre transformation numérique.

Des réseaux hétérogènes

Avec le télétravail, les formations en ligne et réunions à distance, la vidéo explose et les DSI en viennent à restreindre certains sites ou usages, sans répondre à tous les besoins.

Parce qu’une vidéo pèse 1000 fois plus lourd qu’une image, les réseaux d’entreprise, souvent hétérogènes et complexes, sont mal adaptés à un usage audiovisuel généralisé.

Un réseau étendu dispose généralement de connexions variées. Certaines zones du réseau sont faiblement connectées mais desservent beaucoup d’usagers, ce qui est problématique.

Pour résoudre, une architecture adaptée permettra de fluidifier les diffusions vidéo, répondre aux besoins des utilisateurs et garantir la sécurité.

Plateforme vidéo, médiathèque
Logiciel permettant la gestion centralisée des diffusions

Des usages variés

Vidéo à la demande, diffusion en direct, évènements interactifs, réunions virtuelles : les usages s’accélèrent. Les logiciels s’accumulent et les problèmes aussi, trop souvent.

Aucun usage vidéo, logiciel ou technologie n’est semblable à un autre. Cette diversité crée une instabilité constante, grandissante, dans la maîtrise vidéo des réseaux d’entreprise.

Diffuser un direct vidéo, sur toutes les zones et usages du réseau (intranet, extranet, web) est encore partiellement inexploré, ou cause de congestion, faille de sécurité, etc…

La complexité et la versatilité des usages vidéo mettent les DSI à l’épreuve. Et pour encore compliquer, chaque usage peut poser des problématiques distinctes.

Les divers usages de la vidéo
Les divers usages de la vidéo

Des contenus diversifiés

La nature des contenus est cause de complexité. Une vidéo ou conférence « confidentielle » requiert des méthodes spécifiques d’hébergement et d’accès, au meilleur niveau de sécurité.

Les droits d’accès aux médias, selon leur confidentialité ou le niveau d’accréditation, ainsi que le suivi détaillé des diffusions sont un enjeu fréquemment mal résolu.

La maîtrise des droits de visualisation et de création participe à la stratégie de l’entreprise qui doivent découler des règles d’administration du réseau et de l’organisation de travail.

L’architecture audiovisuelle doit donc prendre en compte, fidèlement, les mesures d’accès et de contrôle du système d’information.

Logiciels d'édition vidéo
Logiciels d’édition de contenus

Des règles spécifiques

Vidéo à la demande, Live streaming, réunion visio sont autant de modes de diffusion avec leurs paramètres et protocoles qui se doivent d’être précisément définis, adaptés, maîtrisés.

La plupart du temps ce n’est pas le cas (…) par facilité, méconnaissance, manque de temps ou de solution, mais c’est pourtant ici que la sécurité se joue.

C’est également ici que les gains de bande passante, la simplification des usages et les améliorations du système d’information sont possibles.

Au final, c’est affaire d’experts et d’exigences techniques qui permettent de disposer d’une architecture plus sure, plus exploitable et rentable.

e-CDN empreinte.com
Réseau de diffusion d’entreprise (e-CDN)

Des exigences croissantes

Au quotidien, tout un chacun utilise la vidéo et attend une solution complète qui permet de se réunir, d’enregistrer, diffuser, rediffuser, éditer, classer (…) le plus facilement possible.

Et même si les usages vidéo sont nombreux et parfois complexes, les experts réseaux et les communicants, attendent une solution simple, intuitive, discrète…

Ils attendent aussi l‘ajout progressif de fonctions (multilingue, accès handicap, Richmedia…) et de renforcements techniques (e-CDN, redondance, solution hybride…) où les qualités d’agilité et de sécurité prennent tout leur sens !

Disposer d’une architecture audiovisuelle adaptée au système d’information n’est donc pas seulement un objectif, c’est une condition structurante pour l’entreprise et son développement.

Universal Video Player
Logiciels d’édition de contenus

Conclusion

Si vous avez répondu « oui, j’ai déjà une réponse » à chacune des problématiques de cet article, alors bravo vous maîtrisez votre checklist et vous pouvez décoller tranquillement !

En cas contraire, vous aurez déduit que l’appellation « solution vidéo d’entreprise » est un raccourci auquel il convient d’ajouter quelques précisions.

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Sobriété numérique : un oxymore ?

En 5 ans, internet a triplé sa consommation mondiale d’électricité passant de 7% à 20%. Et les GAFAM, les opérateurs, les Etats parlent de sobriété numérique, est-ce réaliste ?

Journal du Net – 21/11/2022

ADEME (La face cachée du numérique), CNRS (Le grand gâchis énergétique), Greenpeace (Clicking Green) disent que le numérique (mobiles, ordinateurs, datacenters, réseaux) est le premier consommateur électrique mondial, un 6ème continent qui dévore le reste du Monde.

Sans progrès concret pour la maîtrise énergétique, le numérique deviendra-t-il un contresens historique ?

La consommation électrique, et demain ?

Depuis 1974 les puissances mondiales ont triplé leur consommation électrique, l’IEA constatant une augmentation de 423.60% (9,41% an). Donc l’arrivée récente d’internet n’explique pas tout : l’électricité est le moteur de l’économie moderne, industrielle et domestique.

En 2018 trois pays (Chine, USA, Inde) consomment 50% de l’électricité mondiale.

En France, effet de la désindustrialisation, la consommation électrique se stabilise depuis 10 ans. Face à la réduction de la demande électrique industrielle et domestique (chauffage, électroménager), le numérique a doublé. Il représente 12% de l’électricité en France (56TWh).

La transformation est en marche : le numérique représentait déjà 5,5% du PIB français en 2015.

Le réseau mondial, quel coût ?

En 5 ans, le numérique a doublé sa consommation d’énergie, passant de 5 à 20%. La facture pourrait encore s’accroitre avec de nouveaux venus comme la blockchain, dont le seul Bitcoin représente au moins 90 TWh. La généralisation de la monnaie numérique accentuera la tendance.

Les progrès annoncés du « Web 3.0 » mix de blockchain et métavers, les avancées de la 5G, sont l’eldorado des acteurs numériques et le bonheur promis au consommateur. Mais ils risquent aussi d’accroitre fortement la dépense énergétique mondiale.

L’informatique et le réseau Internet mondial forment un super-complexe de technologies énergivores qui n’ont pas été conçues initialement pour répondre à des règles de sobriété. Personnellement, je n’accepterai jamais le terme de progrès s’il annonce des jours incertains pour notre planète.

Planter des arbres, vendre des quotas de CO2, se déplacer à vélo… Tout sera bien dérisoire si aucune avancée ne permet de maîtriser rapidement la facture du numérique. Le temps compte.

Les GAFAM, quelle exemplarité ?

Reprochera-t-on aux géants du Web leur part de responsabilité dans la détérioration de notre environnement ? Cette question des dommages environnementaux, face aux milliards d’optimisation fiscale, sera-t-elle posée ?

Alimentation carbonifère, surconsommation de l’eau : Microsoft, Amazon, Facebook auront durablement pesé sur l’environnement. Jusqu’au projet dystopique de datacenter sous-marin de Microsoft qui semble faire peu cas des petits poissons, une habitude sans doute (…)

Mais la « palme » revient à Google avec son pure playeur YouTube qui n’a de « pur » que le nom. Des règles simples permettraient de réduire ce gaspillage énergétique planétaire. Permettre de lire le contenu en mode audio réduirait fortement la consommation réseau, le stockage, la batterie de l’utilisateur.

Les leaders du marché numérique devront innover dans ce sens pour rester crédibles.

La téléphonie 5G, quelle perspective ?

Sans conteste, les avancées techniques devraient permettre de rationaliser les réseaux téléphoniques. Ericsson, avec sa nouvelle génération d’équipement de réseaux mobiles, s’engage à réduire de 50% la dépense d’énergie et à gagner 60% en capacité.

L’analyse prospective Ericsson expose que sans nouvelle approche, la 5G augmentera encore la consommation d’énergie. Elle s’engage d’ici 2040 à l’objectif « zéro carbone ». Mais la promesse de « briser la courbe montante » reste un objectif lointain, voir incertain.

Dans l’immédiat, les opérateurs écrivent à leurs clients, les incitant à connecter leurs téléphones en Wifi plutôt qu’en 3/4G, et à éteindre le wifi en leur absence. Au final, l’usager déchargera plus vite son téléphone et devra gérer le wifi qui aurait mérité une meilleure conception.

Au final c’est le consommateur et l’environnement qui paieront l’addition qui n’est pas près de passer au vert.

EMPREINTE, quelles avancées ?

Le nom est choisi. « Empreinte » éditeur de plateforme vidéo, fondé il y a 25 ans travaille à des solutions vidéo maîtrisées, car la vidéo est un gros consommateur de bande passante : 90% des flux du Web.

Côté Web, une réduction de 70% des coûts d’hébergement applicatif a été obtenue en 2021 grâce aux travaux d’écoconception des logiciels et de nouvelles méthodes DevOps. Des fournisseurs 100% énergie verte. Un tiers de réduction des vidéos avec une optimisation des processus d’encodage. Voilà des avancées concrètes.

Dans les intranets, nos architectures vidéo réduisent les flux venant du Web et améliorent la diffusion vidéo en temps réel dans les réseaux d’entreprise. Certains de nos réseaux d’affichage dynamique ne consomment plus de flux internet. Voilà notre avancée, coté Intranet.

Sans attendre, chaque acteur doit fournir des preuves réelles de progrès : des solutions plus sobres en énergie.

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